1 . Le principe du routage Classless
Dans les années 90, Internet était en plein développement et la demande d’adresse IP croissait exponentiellement.
Les protocoles utilisés alors était dits « classfull » (comme RIP v1 et IGRP), c'est-à-dire qu’ils utilisaient les masques par défaut des classes d’adresse utilisées (ex : 255.0.0.0 pour la classe A, 255.255.0.0 pour la classe B et 255.255.255.0 pour la classe C).
Le gaspillage d’adresse IP était alors conséquent et une pénurie d’adresses de classe B s’annonçait. En effet, en classfull, le nombre de réseaux et le nombre d’hôtes sont fixes, le masque de sous réseau étant lui-même fixe.
Pour résoudre ce problème, on en vint à l’utilisation de protocoles dits « classless » comme RIP v2 et EIGRP. Ces protocoles, contrairement aux protocoles de routages classfull, intègrent le masque de sous réseau dans leurs mises à jour de routage ce qui permet de modifier les masques de sous réseau en fonction des besoins du réseau que l’on adresse, on peut alors au choix faire soit du subnetting, soit du surnetting.
Le VLSM et le CIDR sont deux techniques utilisant les potentialités du routage classless. La technique du VLSM est une évolution de CIDR utilisée en entreprise pour l’adressage d’un réseau ayant une topologie hiérarchique.
Dans les années 90, Internet était en plein développement et la demande d’adresse IP croissait exponentiellement.
Les protocoles utilisés alors était dits « classfull » (comme RIP v1 et IGRP), c'est-à-dire qu’ils utilisaient les masques par défaut des classes d’adresse utilisées (ex : 255.0.0.0 pour la classe A, 255.255.0.0 pour la classe B et 255.255.255.0 pour la classe C).
Le gaspillage d’adresse IP était alors conséquent et une pénurie d’adresses de classe B s’annonçait. En effet, en classfull, le nombre de réseaux et le nombre d’hôtes sont fixes, le masque de sous réseau étant lui-même fixe.
Pour résoudre ce problème, on en vint à l’utilisation de protocoles dits « classless » comme RIP v2 et EIGRP. Ces protocoles, contrairement aux protocoles de routages classfull, intègrent le masque de sous réseau dans leurs mises à jour de routage ce qui permet de modifier les masques de sous réseau en fonction des besoins du réseau que l’on adresse, on peut alors au choix faire soit du subnetting, soit du surnetting.
Le VLSM et le CIDR sont deux techniques utilisant les potentialités du routage classless. La technique du VLSM est une évolution de CIDR utilisée en entreprise pour l’adressage d’un réseau ayant une topologie hiérarchique.
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